Dans les scénes mythiques, l’héro ou l’héroine recrées par un écrivain et non par ceux tels qu’ils apparaissent dans les traductions des récits anciens qui fûrent d’eux des figures de proue de la renaissance, passionnement amoureux et pourtant cruels, fatales, néamoins troublants par leur fragilité, paradoxalement libre à l’interieur des frontiéres infranchissables fixées par la prophétie nostalgiques puis épérdues et enfin résignée mais triomphante, nous semble représenter une forme de romantisme absolu.
Absolu est ici envisagé selon deux de ses accéptations, au sens d’achevé total ideal, aussi parfait qu’on peut l’imaginer, bien que cette signification doive-être nuancée cae il est évident que la définition d’un romantisme ideal, si tant qu’il existe ou ait éxister, n’est pas dans nos compétences, absolu aussi et surtout, au sens d’autres éxigeant, voire intransigeants, rebelle aux concessions, hostile, aux compromissions, poussée jusquaux limites d’elle même par un desir d’absolu que nous tenterons de cerner.
L’utilisation d’un tel concept invite donc immediatement à quelques bprécisions, on n’envisage pas que le personnage cristallise les caractéristiques du romantisme, d’autre-part on tente seulement de montrer que les émotions, les motivations, les actions des personnages semblent conformes à certaines tendances qui depuis plusieurs siecles aprés l’éssor du mouvement engagé sont généralement associés au térme romantique, image familliére dans la psyché colléctive.
Carnet de romantisme
June 21, 2008 by docteur
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